Friday, 20 January 2017

Citrus aurantium dược liệu kháng HL60 (tế bào bạch cầu promyelocytic người)

Bigaradier-cam đắngCitrus aurantium

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Le Bigaradier ou Oranger amer (Citrus aurantium L.1753) est une espèce d'arbres de la famille des Rutacées (agrume). Le fruit, les feuilles, les rameaux et la fleur ont de nombreuses applications alimentaires et en parfumerie. C'est à l'origine un hybride entre Citrus maxima et Citrus reticulata.

Description[modifier | modifier le code]

Le bigaradier est un arbre de 5 à 10 mètres. Il s'est répandu au début de l'ère chrétienne en Inde et fut introduit dans le sud de la France par les croisades. Les Maures le cultivèrent intensivement près de Séville en Espagne, ce qui valut au fruit son surnom d'orange de Séville. Une sous-espèce de Bigaradier (en réalité un hybride bigaradier-cédratier) donne l'huile essentielle de Bergamote1.

Feuilles[modifier | modifier le code]

Les feuilles du bigaradier sont ovales, luisantes, couverte d'une cuticule cireuse (qui a fait l'objet d'analyses2) et persistantes avec une épine à l'aisselle des feuilles inférieures.

Fruit[modifier | modifier le code]

Des bigarades.
Bigarade panachée.
Le bigaradier porte un fruit, la bigarade, également nommé orange amère (ou zhi shi en médecine chinoise traditionnelle)3. Ce fruit est plus petit que l'orange douce et a la peau rugueuse, de couleur orange parfois teintée de vert ou de jaune. Sa chair est acide, parfois peu juteuse, très amère et contient beaucoup de pépins.

Fleurs[modifier | modifier le code]

Les fleurs de l'oranger amer sont blanches ou roses, plus grandes que celles de l'oranger doux et très odorantes. Elles fleurissent au début du printemps.

Biologie[modifier | modifier le code]

En termes de phytosociologie, il a été constaté que cette espèce a des capacités allélopathiques (c'est-à-dire à éloigner des autres espèces) 4.

Utilisations[modifier | modifier le code]

Le fruit du bigaradier est surtout utilisé en conserve ou cuit (confituresiropmarmelade). La marmelade d'orange est faite uniquement à partir de l'orange amère et non de l'orange douce.
Très parfumée, la fleur de bigaradier sert à la fabrication de l'absolu de fleur d'oranger, de l'eau de fleur d'oranger et de l'essence de néroli utilisée en parfumerie et pour aromatiser les aliments. Ces extraits contiennent une forte proportion d’anthranylate de méthyle responsable de la note typique de la fleur d’oranger amer. Les rameaux sont utilisés pour la fabrication de l'essence de petit grain bigarade, une huile essentielle riche en acétate de linalyle.
Du zeste du fruit on extrait l'essence d'orange amère par exemple utilisée pour la fabrication du triple sec, d'amers, du Grand Marnier et du Cointreau, dont on trouve des plantations notamment en Haïti du côté du Cap-Haïtien.
Dans le sud-est de la France, on utilise les fruits en macération dans du vin (blanc, rosé ou même rouge) additionné de sucre et d'alcool pour confectionner un apéritif : le vin d'orange.
À Malte, où le bigaradier a été introduit avant l'oranger, la bigarade est aujourd'hui utilisée dans la fabrication du soda maltais, le Kinnie, ce qui lui donne son amertume caractéristique.
La clémentine a d'abord été considérée comme un hybride entre le mandarinier (Citrus deliciosa Ten.) et une variété de bigaradier à feuille de saule (Citrus salicifolia Raf. 'Granito'). Ce dernier avait été importé d'Espagne comme porte-greffe pour les cultures d'agrumes. Toutefois des études récentes menées par la station INRA de San-Giuliano en Corse consacrée à l'agrumiculture, ont montré à partir de l'analyse des chromosomes qu'il s'agissait en réalité d'un hybride entre le mandarinier et l'orange douce (Citrus sinensis).
Il est utilisé comme ingrédient dans certains compléments alimentaires ou aliments vendus pour la perte de poids5, mais interdit (pour ce qui concerne le fruit vert) pour cet usage dans certains pays (dont en France depuis mai 20126). Plusieurs études (dans les années 1990 et 2000) ont mis en évidence sur le modèle animal (rat de laboratoire) un effet amaigrissant (ou plus précisément « thermogénique »7,8), mais l'une d'entre elles a aussi trouvé un effet cardiotoxique, avec des arythmies cardiaques et un accroissement du taux de mortalité chez les rats traités (par voie orale) par des extraits de fruits9Modèle:,,10, sans doute en raison de la teneur du fruit en un alcaloïde, la synéphrine, mais une revue d'études publiées en 2006 conclut que l'on manque de données pour évaluer le rapport coût avantage ou l'efficacité de cette molécule pour maigrir11.

Propriétés médicinales[modifier | modifier le code]

Des études de 2002 et 2005 portant sur les huiles essentielles de zeste (essence d'orange amère) et de rameaux (essence de petit grain bigarade) sont traditionnellement utilisés comme alternative aux médicaments chimiques pour :
Une étude japonaise de 1999 laisse penser que les polyméthoxyflavonoides de cette espèce pourrait avoir des effets antimutagènes16 et une autre étude suggère des propriétés intéressantes contre le cancer du colon17.

Le bigaradier dans la littérature[modifier | modifier le code]

Georges Caméra évoque la culture de la fleur du bigaradier et la vie dans les campagnes de la Côte d'Azur où la culture du bigaradier était très développée, dans la première moitié du xxe siècle dans deux de ses ouvrages ("La Fleur du Bigaradier" et "Toi, le Bigaradier").}

Physiologie et génétique[modifier | modifier le code]

Depuis les années 1990, les chercheurs ont acquis des données sur son génome18, qui ont notamment été exploitées pour tester la création d'arbres transgéniques (OGM)19. Des travaux visent aussi à sélectionner ou créer des souches plus résistantes aux augmentations de salinité20,21. On s'intéresse aussi à ses réactions face à l'augmentation du taux de CO2 de l'atmosphère22,23,24

Cibotium barometz dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan), HL60 (tế bào bạch cầu promyelocytic người), LNCaP (tế bào gây ung thư tuyến tiền liệt), MCF-7 (tế bào gây ung thư vú)

Centella asiatica dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan)

Centella asiatica-rau má

 La plante est appelée « wonderful kola ». Ne pas la confondre avec Buchholzia coriacea, également appelée de la sorte.
Centella asiatica est une espèce de plante herbacée annuelle de la famille des Apiaceae originaire d'Asie et d'Océanie. Elle est utilisée comme plante médicinale dans la médecine ayurvédique et la médecine traditionnelle chinoise. Elle était connue également sous le nom scientifique de Hydrocotyle asiatica L. et différents noms vernaculaires, Gotu kolaAntananPegaga, et Brahmi (ce dernier nom étant utilisé pour différentes espèces dont Bacopa monnieri).

Description[modifier | modifier le code]

La plante est constituée de fines tiges vertes à roses formant des stolons.
Les feuilles vertes à texture douce sont réniformes et ont un pétiole de 20 cm.
Les petites fleurs (- de 3 mmhermaphrodites sont roses et vertes, disposées en ombelles près de la surface du sol. Chaque fleur est partiellement contenue dans une bractée. Elle comporte 5 étamines et 2 styles.
La plante est mature en trois mois et on la récolte intégralement (y compris les racines).

Composition[modifier | modifier le code]

Recherches[modifier | modifier le code]

Cette plante a fait l'objet de très nombreuses études notamment à Madagascar dans le cadre de la lutte contre la lèpre par le Dr Ch. Grimes de la léproserie de Manankavely, sur la route de Tamatave et par Pierre Boiteau1.
Les études cliniques débutent en 19372. C'est le début d'une recherche qui s'achèvera en 1942 par l'identification de l'asiaticoside par Bontems3 et la mise au point d'un médicament cicatrisant, le Madécassol avec Albert Rakoto Ratsimamanga. Les retombées financières permettront la création de l'IMRA (Institut malgache de recherches appliquées).

Utilisation[modifier | modifier le code]

Lorsqu'on mange ses feuilles crues en salade, le "pegaga" est censé avoir un effet réjuvénateur. Une décoction de feuilles permet de réduire l'hypertension.
En application externe, ses stéroides permettraient de soulager la lèpre, d'apaiser les démangeaisons, d'adoucir les brûlures et de cicatriser plus facilement. En 2001, une équipe de chercheurs britanniques a démontré qu'elle permettait de traiter les varices.
On lui connaît aussi des effets nootropiques. Comme avec ''Salvia divinorum'', la mastication de feuilles de Centella asiatica pendant de longues heures a des effets enthéogènes mais cette pratique est considérée comme dangereuse[réf. souhaitée]. (NOTE : aucune trace de ces prétendus effets enthéogènes n'est trouvée dans la littérature disponible, tant dans les études scientifiques que dans les descriptions d'usages traditionnels. Cette affirmation non vérifiée et inédite est à prendre avec d'extrêmes réserves.)
On dit aussi que Centella asiatica a des effets aphrodisiaques et antioxydants.
Au xviie siècle, le Gotu kola était consommé régulièrement en salade et en infusion par un Chinois nommé Li Qingyun (ou Li Ching-Yuen) réputé pour avoir vécu presque deux cents ans4.
Une étude de 2010 montre que Centella asiatica serait également un anxiolytique prometteur5.

Celastrus dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan), HL60 (tế bào bạch cầu promyelocytic người)

Celastrus-chi dây gối

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Staff vine
Celastrus scandens.jpg
Celastrus scandens
Scientific classification
Kingdom:Plantae
(unranked):Angiosperms
(unranked):Eudicots
(unranked):Rosids
Order:Celastrales
Family:Celastraceae
Subfamily:Celastroideae
Genus:Celastrus
L.[1]
Species
See text
Not to be confused with a vine staff
Celastrus, commonly known as staff vinestaff tree or bittersweet, is a genus in the Celastraceae family which comprises about 30-40 species of shrubs and vines. They have a wide distribution in East AsiaAustralasiaAfrica, and the Americas.

Celastrus orbiculatus
The leaves are alternate and simple ovoid, typically 5–20 cm (2.0–7.9 in) long. The flowers are small, white, pink or greenish, and borne in long panicles; the fruit is a red three-valved berry. The fruit are eaten by frugivorous birds, which disperse the seeds in their droppings. All parts of the plants are poisonous to humans if eaten.
In North America, they are known as bittersweet, presumably a result of confusion with the unrelated bittersweet (Solanum dulcamara) by early colonists. C. orbiculatus is a serious invasive weed in much of eastern North America.