Wednesday, 19 April 2017

Monochoria vaginalis dược liệu kháng A549 (tế bào adenocarcinomic nhân phế nang đấy biểu mô)

Monochoria vaginalis - lục bình

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Monochoria vaginalis
Monochoria vaginalis at Kadavoor.jpg
Scientific classification
Kingdom:Plantae
(unranked):Angiosperms
(unranked):Monocots
(unranked):Commelinids
Order:Commelinales
Family:Pontederiaceae
Genus:Monochoria
Species:M. vaginalis
Binomial name
Monochoria vaginalis
(Burm.f.C.Presl ex Kunth
Monochoria vaginalis is a species of flowering plant in the water hyacinth family known by several common names, including heartshape false pickerelweed and oval-leafed pondweed.
It is native to much of Asia and across many of the Pacific Islands, and it is known in other areas as an introduced species. It is often an invasive noxious weed, and is listed on the United States Federal Noxious Weed List.[1] An aquatic plant, it is invasive in rice paddies and other water bodies. This is an annual or perennial herb growing in water from a small rhizome. It is quite variable in morphology. The shiny green leaves are up to about 12 centimeters long and 10 wide and are borne on rigid, hollow petioles. The inflorescence bears 3 to 25 flowers which open underwater and all around the same time. Each has six purple-blue tepals just over a centimeter long. The fruit is a capsule about a centimeter long which contains many tiny winged seeds.

Morinda citrifolia dược liệu kháng L1210 (tế bào bạch cầu)

Morinda citrifolia -nhàu

Pour les homonymes, voir Noni Page d'aide sur l'homonymie et la page d'homonymie Nono Page d'aide sur l'homonymie.

Le nono ou pomme-chien (Morinda citrifolia) est un arbre tropical de la famille des Rubiaceae, originaire d'Asie (Inde) ou d'Australie. « Noni » est l'appellation commerciale courante du jus extrait de la pulpe du fruit.
« Nono » est le nom de l'arbre et de son fruit, en tahitien. Le terme « noni » est une création récente, utilisée pour la commercialisation du jus extrait de la pulpe du fruit et pour éviter la consonance jugée dépréciative avec « no - no » en anglais (« non - non »), le marché américain étant le principal et, historiquement, le premier marché depuis que la distribution est organisée de manière moderne.
L'arbuste Morinda citrifolia donne des fruits moins d'un an après sa plantation. Il atteint sa pleine maturité à deux ans et fournit jusqu'à 8 kg de nono chaque mois, tout au long de l'année. Ses fruits sont verts, puis jaunes, et deviennent blanchâtres lorsqu'il sont mûrs. Ils sont reconnaissables à leur odeur particulière et leur goût amer.
Le jus extrait du fruit est commercialisé sous le nom de noni comme complément alimentaire aux USA, où il n'est pas reconnu officiellement comme médicament. Le principal distributeur sur le marché américain est Tahitian Noni International, dont le siège est à Provo (Utah).

Qualités médicinales arguées[modifier | modifier le code]

L'arbre et son fruit sont utilisés comme plante médicinale dans la culture traditionnelle polynésienne1La plus ancienne référence concernant le nono proviendrait d'écrits sanskrits indiens énonçant son utilisation en médecine ayurvédique. Le jus de nono est parfois surnommé « aspirine des Anciens ».[réf. nécessaire]
Le nono renferme, selon un petit groupe de chercheurs américains, des substances pouvant retarder le vieillissement de la peau 2, les inflammations arthritiques3, ou protéger l'organisme contre les maladies dégénératives telles que le cancer[réf. nécessaire].
Néanmoins, ces "vertus" du jus de nono sont controversées, et l'Union Européenne ne lui a pas accordé d'agrément pharmaceutique ni d'allégation de santé. Elle a autorisé la vente de jus de fruit au noni, ou sous formes de capsules, et cætera, relevant de la législation alimentaire comme "simple jus de fruits". La publicité arguant de propriétés médicinales lui est donc interdite en Europe.
« L’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) souhaite attirer également l’attention des consommateurs de jus de noni sur le respect des conditions d’emploi proposées par le fabricant du produit lors de son évaluation, à savoir une recommandation de consommation de 30 millilitres par jour.
L’Afssa souligne par ailleurs qu’aucune allégation de bénéfice pour la santé n’a été revendiquée ni documentée lors de l’évaluation de ce nouvel aliment, présenté comme un simple jus de fruit sur le plan nutritionnel. Les éventuelles propriétés bénéfiques du jus de noni, qui sont avancées pour divers troubles de la santé ou pathologies dans certains circuits d’information (via Internet notamment), n’ont pas été évaluées ni a fortiori validées par les autorités de sécurité sanitaire, que ce soit en tant qu’aliment ou en tant que médicament4. »
L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a rendu ses conclusions sur le jus de noni, un aliment autorisé au titre du règlement novel food en 2003. En effet des suspicions d’hépatite aiguë à la suite de la consommation de jus de noni avaient conduit l’EFSA à étudier plus précisément la question. Le panel de l’EFSA a donc rendu ses conclusions et indique qu’il n’y a pas de relation de cause à effet entre le noni et les hépatites aiguës5

Culture du nono en Polynésie Française[modifier | modifier le code]


Un nono à maturité.

Différents stades d'évolution de la plante de noni
Au début des années 1990, un grand nombre d'agriculteurs de Polynésie française se lancent dans la culture du nono6. L'arbuste est déjà présent sur ce territoire, où il pousse naturellement. Parfaitement adapté au climat polynésien, sa culture est rapide et peu contraignante. Le gouvernement de Polynésie Française accorde des aides à la société américaine Tahitian Noni International et sa filière locale Morinda, afin de construire une usine de production de jus et de purée de nono dans la commune de Papara, sur l'île de Tahiti6.
Le marché de consommation se développe fortement, et des exploitations sont créées dans de nombreux pays au climat tropical, en particulier au Mexique et au Costa Rica6. D'autres pays suivent, comme les îles Fidji ou la République dominicaine. Les prix pratiqués dans ces pays tombent rapidement aux alentours de 15 Francs Pacifique (environ 12,6 centimes d'euro) le kilogramme, contre 60 Francs Pacifique (environ 50 centimes d'euro) le kilogramme en Polynésie Française6. La production en Polynésie française chute : elle passe de 8 200 tonnes en 2005, à 6 401 tonnes en 2006, puis 2 089 tonnes en 2007. Le volume des exportations passe de 2 578 tonnes en 2007 à 1 924 tonnes en 20086. Pour la société Tahitian Noni International, l'approvisionnement continue à se faire entièrement en Polynésie française.
En 1998, Vatea Quesnot fonde la société Royal Tahiti Noni. Face aux difficultés de la filière, il opte pour la production « bio », et obtient cette certification entre 2002 et 2004. Le volume des exportations de jus de nono bio de cette société tourne aux alentours de 150 à 200 tonnes par an à la fin des années 20006.

Moringa oleifera dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan)

Moringa oleifera - chùm ngây


Moringa oleifera, souvent appelée simplement moringa, est une espèce de petit arbre pouvant mesurer jusqu'à 10 mde la famille des Moringaceae.
Elle est originaire du nord de l'Inde et Sri-lanka (Ceylan) et est maintenant acclimatée dans presque toutes les régions tropicales: elle résiste bien à la sécheresse et a une croissance rapide.
Moringa vient du mot Tamil (7Morungai / முருங்கை /முருங்க). La plupart des langues utilisent un dérivé phonétique de ce mot pour désigner la plante.
Ci-dessous, il est entendu que le mot Moringa se rapporte à l'espèce Moringa oleifera, sauf précision contraire.
A l'Ile de la Réunion et ile Maurice, on l'appelle "brède mouroum". En Fulfulde dans le nord du Cameroun, on le nomme « Gligandjah » et en zone anglophone du Cameroun, « Horseradish-tree »1.

Un arbre à usages multiples[modifier | modifier le code]


Silique de Moringa
La tradition indienne de l'ayurveda indiquait que les feuilles du Moringa guérissaient plus de 300 maladies.
En Inde, le Moringa est une plante vivrière cultivée pour ses fruits, qui sont mangés cuits et exportés frais ou en conserve. Au Cambodge, où le Moringa porte le nom de ម្រុម /mərum/, les jeunes feuilles peuvent être utilisées dans la soupe de légumes appelée ស្រឡក់ /srəlɑʔ/2, mais aussi dans la très populaire soupe de légumes variés appelée សម្ល​កកូរ /sɑmlɑː kəkɔo/. Les fruits peuvent être ajoutés aux soupes acidulées appelées សម្ល​ម្ជូរ /sɑmlɑː məcuː/3. Au Sahel, les feuilles de Moringa oleifera sont consommées comme légumes et celles de Moringa stenopetala constituent le repas de base du peuple Konsoen Éthiopie. Des analyses nutritionnelles[réf. nécessaire] ont montré que les feuilles de Moringa oleifera sont plus riches en vitamines (B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, A, C, E), minéraux (potassium, calcium, magnésium, fer, manganèse, sélénium) et protéines que la plupart des légumes. Elles contiennent des acides aminés dont les acides aminés essentiels (isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane, valine). Elles contiennent deux fois plus de protéines et de calcium que le lait, autant de potassium que la banane, autant de vitamine A que la carotte, autant de fer que la viande de bœuf ou les lentilles et deux fois plus de vitamine C qu'une orange. Beaucoup de programmes utilisent les feuilles de Moringa oleifera contre la malnutrition et ses maladies associées (cécité, etc.). En phytothérapie, la poudre de feuilles de Moringa est indiquée pour stimuler le système immunitaire, réduire la fatigue, abaisser la pression artérielle, améliorer la digestion et le transit, renforcer les capacités cognitives... Les formules des compléments alimentaires proposent soit de la poudre de feuilles de moringa seule, soit en association avec d'autres ingrédients. C'est le cas notamment des produits Moringa du laboratoire Natural Nutrition commercialisés en pharmacies ou des produits Moringa éthik planète de LT Labo, commercialisés en magasins de produits diététiques et biologiques. Les applications du Moringa sont nombreuses et variées.
Les graines de Moringa contiennent un polyélectrolyte cationique qui a montré son efficacité dans le traitement des eaux (élimination de la turbidité), en remplacement du sulfate d'alumine ou d'autres floculants. L'avantage de l'utilisation de ces graines est double :
  • la substitution de floculants importés par un produit local facilement accessible permet une économie importante de devises pour les pays du Sud,
  • ce floculant, contrairement au sulfate d'alumine, est totalement biodégradable.
On peut également extraire de ses graines une huile alimentaire intéressante, notamment en Afrique où beaucoup de pays manquent d'huiles alimentaires, et une matière première intéressante pour l'industrie cosmétique (savon, parfum). Une utilisation mixte du moringa, pour la production d'huile et d'agent floculant, est possible car le tourteau issu de l'extraction d'huile conserve ses capacités floculantes.
Ses racines servent à produire un condiment alimentaire.
D'autres applications potentielles du moringa, comme son utilisation dans l'alimentation animale, comme hormone de croissance végétale, comme engrais vert, en phytopharmacie ou comme pâte à papier font l'objet de nombreuses recherches.

Culture[modifier | modifier le code]

Le Moringa peut se trouver dans des zones très arides comme le Sahara, mais il aime également les climats semi-tropicaux humides. Sa racine tubéreuse lui permet de se passer d'eau pendant plusieurs mois. Son nom sénégalais "Nébédaye" et son nom français de "Néverdier" viendraient de l'anglais "Never die" : lorsqu'on le coupe ou que des jeunes pousses sont brûlées par le soleil, il repousse aussitôt avec les premières pluies. Il peut se planter par semis, en repiquage ou en plein champ, ou par boutures. On peut le cultiver de façon extensive pour une production de graines (semences ou production d'huile) ou de façon intensive irriguée pour une production optimale de feuilles (très nutritives) avec une récolte toutes les 6 semaines ! C'est un arbre à croissance très rapide : jusqu'à 1 mètre par mois !
Facile à planter, l'"Ananambo", très répandu à Madagascar (Antananarivo, FianarantsoaTuléarMajungaDiego-Suarez et Tamatave), se plante par bouture. Son reboisement en masse contribue à la préservation de l'environnement et cet arbre se révèle un pare-feu efficace.

Production[modifier | modifier le code]

Plusieurs organismes ont isolé la protéine active du floculant de Moringa pour faciliter son utilisation dans les usines de traitement des eaux mais aussi pour l'aquaculture d'algues, les usines de pâte à papier, les caves viticoles ou le secteur minier. La production et l'utilisation du Moringa dans des conditions économiques réelles est en train d'être mises au point.