Monday, 23 January 2017

Ophiocordyceps sinensis dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan), HL60 (tế bào bạch cầu promyelocytic người), K562 (tế bào gây bệnh bạch cầu), Jurkat (tế bào bạch cầu Lympho), DU145 & PC3 (tế bào gây ung thư tuyến tiền liệt), MCF-7 (tế bào gây ung thư vú)

Ophiocordyceps sinensis-đông trùng hạ thảo

Ophiocordyceps sinensis ou Cordyceps sinensis 1, aussi appelé « champignon chenille » ou yarsagumbu (tibétain : དབྱར་རྩྭ་དགུན་འབུ་Wylie : dbyar rtswa dgun 'bul, littéralement : « ver l'hiver, herbe l'été », parfois également translittéré en yarchagumba ou yartsa gunbou) (chinois : 冬虫夏草 ; pinyin : dōngchóng xiàcǎo, hindi यार्चा गुम्बा, népali यार्सा गुम्बा), est un champignon ascomycète de la famille des cordycipitacées originaire du Tibet. On le trouve au Bhoutan, en Chine (région autonome du TibetQinghai, dans l'ouest du Sichuan, le sud-ouest du Gansu et le nord-ouest du Yunnan), en Inde (Arunashal PradeshSikkimLadakh) et au Népal.

Description[modifier | modifier le code]

C'est un parasite de la larve d'un lépidoptère du genre Thitarodes. Il tue l'insecte, le momifie, puis le cordyceps pousse à partir du corps de l'insecte. Il produit des stromas jaune-orangé.
À l'extrémité se trouve la partie fertile qui libère des ascospores qui sont susceptibles d'être absorbées par de nouvelles chenilles au cours de leur alimentation. Si cette contamination a lieu, un mycélium se développe en endoparasite dans le corps de la chenille, l'envahissant totalement et finissant par la tuer. C'est à partir de cette masse mycélienne que le stroma s'organise alors, traversant le corps de la chenille du côté de la tête, et apparaissant enfin à la surface du sol, permettant la poursuite de ce cycle parasitaire. L'ensemble - corps de la chenille momifiée et sa tige - fait moins de dix centimètres. Il se rencontre essentiellement à des altitudes de plus de 4 000 mètres.

Propriété[modifier | modifier le code]

Il est connu comme champignon médicinal aphrodisiaque et son utilisation a une longue histoire dans la médecine traditionnelle chinoise ainsi que la médecine traditionnelle tibétaine2,3. Au Tibet, il est utilisé depuis plus de 500 ans comme tonifiant, il est utilisé en médecine tibétaine pour traiter des personnes présentant certaines affections cardiaques et rénales, ainsi que pour accroitre la virilité. On rencontre son utilisation en Chine depuis les années 17304.
On en extrait la cordycépine qui a une action anticancéreuse.

Substrat artificiel[modifier | modifier le code]

Des scientifiques chinois ont pu extraire et cultiver l'hyphe du champignon Ophiocordyceps sinensis après 11 ans de recherche, en produisant un substrat artificiel. Des parties inutiles et isolées du champignon sont retirées pendant la culture. 5.

Économie[modifier | modifier le code]

Au Tibet, le yartsa gunbou s'est développé pour devenir la source la plus importante de revenus en espèces dans les régions rurales contribuant pour 40 % au revenu annuel des ménages locaux et de 8,5 % du PIB en 2004. Les prix n'ont cessé d'augmenter, surtout depuis la fin des années 1990. En 2008, un kilogramme se négociait entre 2 500 euros (moins bonne qualité) et 16 000 euros (meilleure qualité, les plus grosses larves). En 2015, il se vendait 20 000 euros6. La production annuelle sur le plateau tibétain est estimée à une centaine de tonnes.
Sa valeur lui a donné un rôle dans la guerre civile népalaise, les maoïstes népalais et les forces gouvernementales se sont battus pour le contrôle de ce commerce d'exportation lucratif. La collecte du yarchagumba au Népal a seulement été légalisée en 2001. La demande est la plus élevée dans les pays comme la Chine, la Thaïlande, la Corée et le Japon.

Coptis chinensis dược liệu kháng HeLa (tế bào gây ung thư cổ tử cung)

Coptis chinensis-hoàng liên trung quốc

From Wikipedia, the free encyclopedia
Chinese goldthread
Scientific classification
Kingdom:Plantae
(unranked):Angiosperms
(unranked):Eudicots
Order:Ranunculales
Family:Ranunculaceae
Genus:Coptis
Species:C. chinensis
Binomial name
Coptis chinensis
Franch.[1]
Coptis chinensis, the Chinese goldthread, is a species of goldthread native to China.

Etymology[edit]

Chemical constituents[edit]

The rhizomes of Coptis chinensis are used in Traditional Chinese Medicine and serve as a source for the isoquinoline alkaloids berberine,[3] palmatine, and coptisine among others.

Traditional uses[edit]

Coptis chinensis is one of the 50 fundamental herbs used in traditional Chinese medicine, where it is called duǎn è huánglián (Chinese短萼黄连).

Pharmacology[edit]

A variety of pharmacological effects of Coptis chinensis extracts or its chemical components have been reported, but the relevance of these in vitro and animals studies to human health are unknown. For example, a 1996 in vitro study found Coptis chinensis extracts to be effective against the gastrointestinal parasite Blastocystis hominis.[4] A study in rats suggested Coptis and berberine (the primary alkaloid in Coptis) are potential agents for preventing intestinal injury.[5] Berberine may also have anti-atherosclerosis effects.[6] Berberine and basic extracts of Coptis chinensis also have demonstrated positive effects in an animal model of neurodegeneration.[7] Animal studies suggest Coptis chinensis rhizomes may help with the pain of irritable bowel syndrome.[8]

Other uses[edit]

Because of the strong coloring quality of berberine, it has been traditionally used as a dye, especially for wool and other fibers.[9]

Commelina communis dược liệu kháng HL60 (tế bào bạch cầu promyelocytic người), L1210 (tế bào bạch cầu)

Commelina communis

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image illustrant la flore
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Commelina communis, la Comméline commune, est une espèce de plante herbacée de la famille des Commelinaceae.