Sunday, 27 November 2016

Panax vietnamensis dược liệu kháng HeLa (tế bào gây ung thư cổ tử cung)

Panax vietnamensis

From Wikipedia, the free encyclopedia

Panax vietnamensis
Scientific classification
Kingdom:Plantae
(unranked):Angiosperms
(unranked):Eudicots
(unranked):Asterids
Order:Apiales
Family:Araliaceae
Subfamily:Aralioideae
Genus:Panax
Subgenus:Panax
Section:Panax
Series:Panax[1]
Species:P. vietnamensis
Binomial name
Panax vietnamensis
Ha & Grushv.[1][2]
Synonyms[2]
Panax vietnamensis or Vietnamese ginseng[1] (Vietnamese: Sâm Ngọc Linh) is a species of the ginseng genus Panax. In Vietnam the species, prized in herbal medicine, is commercially very valuable and now considered threatened.[3][4]

Description[edit]

Panax vietnamensis is a perennial plant, growing from 40 centimetres (16 in) to 1 metre (3 ft 3 in) tall. It may be distinguished from other ginseng species by the notches on its roots.[3]

Distribution and habitat[edit]

In Vietnam, P. vietnamensis is found primarily in the Mount Ngọc Linh area of Kon Tum and Quảng Nam provinces, from which its local name is derived.[3][4] It is also found in the Mount Ngọc Lum Heo and Mount Ngọc Am areas of Quảng Nam Province. Its habitat is areas under jungle leaf canopy or near running water, at altitudes above 1,200 metres (4,000 ft).[3] The species is also reported from central and southern provinces of China.[2]

Threats[edit]

Panax vietnamensis faces a number of threats to its survival as a species in Vietnam. With increased demand from the herbal medicine industry, locals have over-harvested the plant in the wild.[4] The species is slow-growing, taking around 10 years to reach maturity.[3] Larger-scale commercial farming operations have been affected by theft of the plants.[5] False ginseng seeds have been introduced to the Mount Ngọc Linh area in an attempt to be grown and sold as P. vietnamensis. The introduced strains mature in a much shorter time and can be grown at lower altitudes. Scientists are concerned that these strains may mix with and compromise purebred P. vietnamensis.[3]

Commercial projects[edit]

In 1979 the provincial government of Quảng Nam established the Tra Linh Drug Materials Farm in a forested area on Mount Ngọc Linh. The project, delayed for many years, has recently cultivated large numbers of Ngọc Linh ginseng plants for sale to a local pharmaceutical company. However theft of mature plants has been an ongoing threat.[4][5]
In Kon Tum province, a conservation centre was established in 2004 to grow and preserve the plant. Initially an area of 10 hectares (20 acres) has been planted. It is hoped to increase this to 500 hectares (1,236 acres) under cultivation by 2015.[6]

DNA[edit]

Panax vietnamensis is sympatric with other Panax species and has a close relationship with P. japonicus var. major and P. pseudo-ginseng subsp. himalaicus.[7]

References[edit]

  1. Jump up to:a b c "Panax vietnamensis"Germplasm Resources Information NetworkUnited States Department of Agriculture. 11 Jun 2004. Retrieved 29 Nov 2014.
  2. Jump up to:a b c "Panax vietnamensis"World Checklist of Selected Plant FamiliesRoyal Botanic Gardens, Kew. Retrieved 29 Nov 2014.
  3. Jump up to:a b c d e f Phong, Tien (28 Oct 2013). "Scientists fear Ngoc Linh ginseng may get exhausted"VietnamNet. Retrieved 29 Nov 2014.
  4. Jump up to:a b c d Tre, Tuoi (21 Jul 2008). "Golden Treasure" (PDF)Thanh Nien News. Archived from the original (PDF) on 27 Sep 2011. Retrieved 29 Nov 2014 – via The Herbal Dispatch.
  5. Jump up to:a b Tre, Tuoi (22 Jul 2008). "Ginseng guardians" (PDF)Thanh Nien News. Archived from the original (PDF) on 27 Sep 2011. Retrieved 29 Nov 2014 – via The Herbal Dispatch.
  6. Jump up^ "Kon Tum province invests in Ngoc Linh ginseng"VietnamPlusVietnam News Agency. 22 Jul 2013. Retrieved 29 Nov 2014.
  7. Jump up^ Komatsu, Katsuko; Zhu, Shu; Fushimi, Hirotoshi; Qui, Tran Kim; Cai, Shaoqing; Kadota, Shigetoshi (2001). "Phylogenetic Analysis Based on 18S rRNA Gene and matK gene sequences of Panax vietnamensis and five related species". Planta Medica67 (5): 461–465. doi:10.1055/s-2001-15821PMID 11488463.

Panax pseudoginseng dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan)

Panax pseudoginseng

From Wikipedia, the free encyclopedia

Pseudoginseng
Scientific classification
Kingdom:Plantae
(unranked):Angiosperms
(unranked):Eudicots
(unranked):Asterids
Order:Apiales
Family:Araliaceae
Genus:Panax
Subgenus:Panax
Section:Pseudoginseng
Species:P. pseudoginseng
Binomial name
Panax pseudoginseng
Wall.
Subspecies
Panax pseudoginseng is a species of the genus Panax. Common names include PseudoginsengNepal ginseng, and Himalayan ginseng. Pseudoginseng belongs to the same scientific genus as ginseng. In Latin, the word panax means "cure-all", and the family of ginseng plants is one of the best-known herbs. Panax pseudoginseng is not an adaptogen like the better known Panax species, but it is famous as a hemostatic herb that both invigorates and builds blood.[citation needed]

See also[edit]

References[edit]

Panax ginseng dược liệu kháng A549 (tế bào adenocarcinomic nhân phế nang đấy biểu mô), MCF-7 (tế bào gây ung thư vú)

Ginseng

Panax ginseng


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Le ginseng Prononciation du titre dans sa version originale Écouter (Panax ginseng) est une plante vivace qui appartient au genre Panax de la famille des Araliaceae. Environ dix espèces de ginseng sont cultivées à travers le monde1, les espèces les plus connues sont Panax ginseng C.A. Meyer, originaire d'Asie du Nord-Est, et Panax quinquefolium (ginseng américain). La racine du ginseng est réputée pour ses propriétés pharmaceutiques, mais est aussi utilisée comme aliment classique (légume). Le nom générique « Panax » vient des mots grecs Pan, qui signifie « tout », et Akos qui veut dire « remède ». Panax(en français : panacée) désigne donc le remède universel. Le ginseng est une base essentielle de la pharmacopée asiatique et sa renommée est proverbiale en Asie.

Origines et appellations[modifier | modifier le code]

Le ginseng le plus réputé est essentiellement cultivé en Corée.[réf. nécessaire] Les Coréens l'appellent « insam » (인삼ou 人参), la racine en forme d'homme ou « goryo insam » (고려인삼 ou 高麗人参). En effet, une racine âgée peut prendre une allure anthropomorphe (un tronc avec deux bras et deux jambes). Le mot « ginseng » vient du chinoismandarin « rénshēn », « rén » désignant « l'homme », et « shēn » signifiant « racine » (simplifié : ; traditionnel : ). « Rénshēn » est devenu ginseng comme une prononciation anglaise de la manière japonaise de lire ces caractères chinois. Cependant, aujourd'hui, le mot japonais correspondant à ces caractères, « ninjin » (人参?), signifie « carotte », et en japonais le ginseng s'appelle « chosen ninjin » (朝鮮人参?), à partir de Choson (朝鮮?) (Période Joseon), nom de la dernière dynastie régnante de Corée.
Le ginseng doit être cultivé pendant au moins 6 ans2 pour que le rhizome3 arrive à maturité et acquière toutes ses qualités. Selon l'âge de la plante, la racine se vendra à des prix plus ou moins élevés. Il s'agit cependant dans tous les cas d'un produit coûteux, car sa culture nécessite beaucoup de soin. Le commerce du ginseng est fortement encadré par l'État sud-coréen, afin d'assurer la qualité du label Ginseng coréen. Sa qualité est alors reconnue par un sceau d’Etat Coréen :« Korean Office of Monopoly ». Il arrive régulièrement qu'en Corée un promeneur chanceux découvre un ginseng sauvage. Le rhizome sera alors vendu aux enchères, à des prix inimaginables.[réf. nécessaire]

Cultiver du ginseng[modifier | modifier le code]

La culture du ginseng est possible en France métropolitaine et dans les érablières du Québec. Il y est connu depuis 1711, grâce au Père Jartoux, missionnaire jésuite en Chine4. Plante de sous-bois (non d'appartement), le ginseng a besoin d'ombre naturelle (arbre, arbuste, mur…) ou artificielle (filet ombrière). Il aime les sols acides (pH de 6,3 à 6,8), légers (sableux ou humifères) pour y développer plus facilement sa racine. Mais pour le cultiver, il est préférable de le faire en un bac rempli de bon terreau. À l'automne, il perd feuilles et tige et rentre en repos végétatif : à ce stade, il ne craint pas les gelées (jusqu'à -12 voire −15 °C). Il reprendra sa végétation à partir de son bourgeon terminal avec le réchauffement du printemps.
Sa raréfaction à l'état naturel a conduit Coréens et Chinois à mettre au point une technique de culture appropriée aux exigences de la plante. Elle réclame quatre à sept ans d'attention pour atteindre une teneur optimale en composés à usage pharmaceutique.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Le pédoncule du Panax ginseng est plus long que le pétiole ; ce n'est pas le cas chez le ginseng américain (Panax quinquefolius)5.
On y trouve plusieurs composés. Il comporte des ginsénosides, des triterpénoïdes (Terpénoïdes à 6 unités isoprène), dont le protopanaxadiol, sapogénine triterpénique à squelette damarane. Il pourrait augmenter la synthèse de NO par la paroi des vaisseaux, contribuant à un relâchement des fibres musculaires6.
Le ginseng serait avant tout un stimulant du système nerveux, physique et intellectuel et accroît la résistance physique. C'est un stimulant, vasomoteur. Il a une action de fond sur l’organisme. Il est apprécié pour son caractère adaptogène : il permet une meilleure résistance aux divers stress.[réf. nécessaire]
Le ginseng a fait l'objet de très nombreux travaux de recherche.[réf. nécessaire] Ses principaux constituants bioactifs sont les ginsénosides, dont les multiples effets bénéfiques ont été mis en évidence expérimentalement, notamment leurs effets anti-inflammatoires et antioxydants7,8,9.
Le ginseng est utilisé en cas de fatigue générale, physique ou intellectuelle. Il est aussi utilisé dans des boissons énergisantes (Rockstar10, Monster, NOS et AMP) comme stimulant[réf. nécessaire]. Depuis des millénaires, les médecines traditionnelles chinoises, japonaises et coréennes l'utilisent pour ses effets toniques et aphrodisiaques.
Parmi les éléments composant le ginseng, on trouve des molécules de la famille des saponines (= hétérosides de la série des dammaranes = ginsénoside (Chine) = panaxoside (Russie)). C'est, entre autres, cet élément qui procure au ginseng ses propriétés multifonctionnelles. Selon l'origine du ginseng, la quantité de saponine contenue dans la racine diffère.

Effets secondaires et précautions d'emploi[modifier | modifier le code]

Le ginseng peut interférer avec certains médicaments : il diminue ainsi l'efficacité d'un anticoagulant, la warfarine11. Il interfère également avec les examens permettant de doser le taux de digoxine dans le sang ; la digoxine est couramment employée lors des maladies cardiaques12.
À forte dose, il y a un risque d'effets secondaires : hypertension artérielle, troubles du comportement, diarrhée13...
La prudence est de mise chez une femme enceinte, du fait de la similarité des ginsénosides avec certaines hormones sexuelles14.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Stephen Fulder, Le livre du ginseng, La Maisnie-Tredaniel, 1999 (ISBN 2844450563)
  • « Ginseng. Sans intérêt thérapeutique démontré, et sans garantie d'innocuité », in Prescrire : « Bien utiliser les plantes en situations de soins », n° spécial, été 2007, T. 27, n° 28