Saturday, 4 March 2017

Pleurotus eryngii dược liệu kháng HL60 (tế bào bạch cầu promyelocytic người), HeLa (tế bào gây ung thư cổ tử cung)

Pleurotus eryngii-nấm bào ngư nhật



Pleurotus eryngii
Pleurotus eryngii, de son nom vernaculaire le pleurote du panicaut, ou encore argouanebérigoulegirboulot, etc. est un champignon basidiomycète du genre Pleurotus de la famille des Pleurotacées. Comme Pleurotus ostreatus, il est cultivé.

Taxonomie[modifier | modifier le code]

Ses noms, scientifique et vernaculaire, proviennent des apiacées (ombellifères) du genre Eryngium auxquelles il est inféodé.

Nom binomial accepté[modifier | modifier le code]

Pleurotus eryngii var. eryngii (DC.) Quél 1872

Synonymes[modifier | modifier le code]

  • Agaricus eryngii DC. 1815 (synonyme)
  • Dendrosarcus eryngii (DC.) Kuntze 1898 (synonyme)
  • Pleurotus fuscus Battarra Bres ex. 1928 (synonyme)

Variétés[modifier | modifier le code]

  • Pleurotus eryngii var. elaeoselini Venturella, Zervakis & La Rocca 2000
  • Pleurotus eryngii var. ferulae (Lanzi) Sacc. 1887

Noms vernaculaires[modifier | modifier le code]

Connu depuis fort longtemps dans le Sud de la France, un nombre important de noms vernaculaires lui sont attribués en langue d'Oc et en basque : pleurote du panicot, argouagne, argouane, beigoula, bérigoula, bérigoule, berigoulo, bolet dau baja preire, bouligoule, boulingoulo, bridoulo, brigoule, brigoulo, grigoulo, canicot, cardoueto, champignon de garrigues, champignon du panicaut, canquesto, congue, corgne, couderlo, congouerto, doridelle, escouderme, fougga, gingoule, girboulot de panicot, onglet, oreille de chardon, oreillette, panichaou, panicau, ragoule, ringoule.

Description du sporophore[modifier | modifier le code]

Hyménophore : chapeau de 5 à 8 cmcornucopiéconvexe puis aplani à déprimé, cette espèce est très polymorphe pouvant prendre l'aspect d'une langue, commun chez les pleurotes, ou au contraire celui d'un tricholome.
Cuticule : sa cuticule est lisse, tomenteuse, au début parfois écailleuse, mais vite glabre ; gris brunâtre, brun pâle, brun roux ou brun bistre, mais il peut devenir plus clair en vieillissant.
Marge : enroulée.
Lames : blanches, peu serrées, inégales;
Sporée : blanche.
Stipe : pied de 4 à 6 cm, épais, souvent (mais pas toujours) excentré.
Chair : épaisse, ferme, blanche.
Odeur et saveur : odeur faible, saveur douce.

Habitat[modifier | modifier le code]

Plutôt méridional, ce pleurote pousse en terrain dégagé sur les racines des panicauts, faux chardons du genre Eryngium, notamment sur le panicaut champêtre et le panicaut maritime.

Comestibilité[modifier | modifier le code]

Le pleurote du panicaut, est un excellent comestible. Sa culture a été entreprise, mais à une moindre échelle que Pleurotus ostreatus.

Propriété pharmacologique[modifier | modifier le code]

Le pleurote du panicaut, comme tout champignon, semble renforcer le système immunitaire1. Selon l'ouvrage Anticancer 2, le pleurote du panicaut serait le champignon le plus efficace en la matière, ce qui en fait un des aliments luttant le plus efficacement contre certaines affections carcinogènes, mais également contre certaines bactéries nuisibles ou virus qui agressent notre organisme.

Cuisine[modifier | modifier le code]

Recette pour 4 personnes :
1. Faire revenir une échalote hachée dans du beurre.
2. Ajouter 500 g de pleurotes émincés et les faire revenir pendant environ 15 minutes.
3. Ajouter des herbes fraîches (persil, ciboulette ou basilic).
4. Assaisonner avec sel et poivre.
5. Ajouter de la crème fraîche.
Cette préparation se prête à être servie avec du riz, des pâtes ou des toasts. Elle peut également accompagner un poisson ou une viande.

Production[modifier | modifier le code]

La technique culturale du pleurote du panicaut3 ressemble à celle du Grifola frondosa. Le substrat est d'origine végétale et on distingue une phase d'incubation et une phase de fructification. Durant la première phase le mycélium va envahir le substrat et durant la deuxième le sporophore se développe. Les conditions climatiques (humidité de l'air, température et CO2) sont sévèrement contrôlées.

Espèces proches et risques de confusion[modifier | modifier le code]

Il existe une espèce Pleurotus ferulae, plus grande, poussant sur les racines des férulesPleurotus elaeoselini poussant sur les Laserpitium. Il ne présente guère de risque de confusion, du fait de sa stricte dépendance du panicaut ou de ces autres ombellifères.

Platycodon grandiflorum dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan), A549 (tế bào adenocarcinomic nhân phế nang đấy biểu mô), DU145 (tế bào gây ung thư tuyến tiền liệt)

Platycodon-cát cánh


(Redirigé depuis Platycodon grandiflorum)
Le platycodon (Platycodon grandiflorus), appelé aussi campanule à grandes fleurs, est une plante herbacée vivaceoriginaire d'Extrême-Orient (Sibériepéninsule coréenneJaponChine du Nord). C'est la seule espèce du genre Platycodon. Cette plante est le symbole des villes japonaises d'Ichinomiya et d'Isehara.

Description[modifier | modifier le code]

Elle mesure de 20 à 100 cm (le plus souvent environ 50 cm).
Son feuillage est caduc.
Elle fleurit pendant tout l'été. Les boutons floraux se gonflent en ballons avant de s'ouvrir, d'où le nom anglais de « balloon flower » ou allemand de "Ballonblume" (« fleur ballon »). Ses fleurs mesurent 5 cm et sont composées de 5 pétales pentagonaux fortement veinés.
Les tiges disparaissent totalement en hiver, mais la racine résiste bien au gel et émet de nouvelles tiges au milieu du printemps.

Utilisation[modifier | modifier le code]

Le platycodon est largement cultivé comme plante ornementale. La racine est utilisée en médecine chinoise.
La racine, mélangée a des épices, est traditionellment consommées en Corée. Les pousses sont aussi parfois consommées.

Culture[modifier | modifier le code]

Cette plante doit être plantée (soleil ou mi-ombre), dans un sol drainé, frais, humifère, plutôt riche, même calcaire, au printemps ou à l'automne. Il faut bien choisir son emplacement, car elle n'aime pas être déplacée.
Pour la multiplication, semis (2 à 3 semaines pour la levée) ou division au printemps tous les trois ans.
Entretien Tailler les fleurs fanées, diviser tous les 3-4 ans, nécessite un tuteurage léger. Plante de culture très facile, mais attention elle démarre tard dans la saison, il vaut donc mieux marquer son emplacement en automne pour ne pas l'abîmer lors des travaux printaniers.

Peperomia pellucida dược liệu kháng HL60 (tế bào bạch cầu promyelocytic người), MCF-7 (tế bào gây ung thư vú), HeLa (tế bào gây ung thư cổ tử cung)

Peperomia pellucida-rau càng cua

From Wikipedia, the free encyclopedia
Peperomia pellucida
Peperomia pellucida (Mindanao, Philippines).jpg
Scientific classification
Kingdom:Plantae
(unranked):Angiosperms
(unranked):Magnoliids
Order:Piperales
Family:Piperaceae
Genus:Peperomia
Species:P. pellucida
Binomial name
Peperomia pellucida
Kunth
Synonyms
Piper concinnum Haw.
Peperomia translucens Trel.
Piper pellucidum L.
Peperomia pellucida (also known by common names pepper eldershining bush plant, and man to man) is an annual, shallow-rooted herb, usually growing to a height of about 15 to 45 cm. it is characterized by succulent stems, shiny, heart-shaped, fleshy leaves and tiny, dot-like seeds attached to several fruiting spikes. It has a mustard-like odor when crushed. The family Piperaceae comprises about a dozen genera and around 3000 species. The genus Peperomia represents nearly half of the Piperaceae with the genus Piper making the rest.

Habitat[edit]

Flowering year-round, the plant is found in various shaded, damp habitats all over Asia and the Americas. It grows in clumps, thriving in loose, humid soils and a tropical to subtropical climate.

Uses[edit]

Peperomia pellucida has been used as a food item as well as a medicinal herb. Although mostly grown for its ornamental foliage, the entire plant is edible, both cooked and raw. It is also said that it can be a good refrigerant.

Pharmacology[edit]

The analgesic properties of the plant seem to be related to its effect on prostaglandin synthesis.[1] It may have potential as a broad spectrum antibiotic, as demonstrated in tests against Staphylococcus aureusBacillus subtilisPseudomonas aeruginosa, and Escherichia coli.[2] Chloroform extracts from dried leaves of P. pellucida have been shown to exhibit antifungal activity against Trichophyton mentagrophytes in vitro.[3]
Anti-inflammatory activity (in paw edema) and analgesic activity has been demonstrated in rats and mice.[4]
Although the plant can cause asthma-like symptoms in patients with known hypersensitivity reactions to the species, no clinical data have yet been reported on human toxicity.

Traditional medicine[edit]

Ethnomedicinal uses for the plant vary. P. pellucida has been used for treating abdominal pain, abscesses, acne, boils, colic, fatigue, gout, headache, renal disorders, and rheumatic joint pain.[5][6] In BoliviaAlteños Indians use the whole plant to stop hemorrhages.[citation needed] The roots are used to treat fevers and the aerial parts are used as dressing for wounds.[7] In northeastern Brazil, the plant has been used to lower cholesterol.[8] In Guyana and the Amazon region, it is a popular cough suppressant, emollient, and diuretic.[citation needed] It is also used to treat proteinuria.[9][10] In the Philippines, a decoction of the plant is used to decrease uric acid levels and to treat renal problems.[citation needed] It is also used topically for skin disorders such as acne and boils.[citation needed]

Common names[edit]

It is known as pepper elder, silverbush, rat-ear, man-to-man, clearweed (North America); prenetaria (Puerto Rico); konsaka wiwiri (Suriname); coraçãozinho or "little heart" (Brazil); lingua de sapo, herva-de-vidro, herva-de-jaboti or herva-de-jabuti (South America), corazón de hombre (Cuba).[11] In Oceania, it is called rtertiil (Belauan); podpod-lahe or potpopot (Chamorro). In the different dialects of the Philippines, it is called pansit-pansitan or ulasimang-bato (Tagalog), olasiman ihalas (Bisaya), sinaw-sinaw or tangon-tangon (Bikol), lin-linnaaw (Ilocano) and "clavo-clavo" (Chavacano). In other parts of Asia, it is known as càng cua (Vietnam); pak krasang ผักกระสัง (Thailand); "krasang teap" ក្រសាំងទាប (Cambodia); suna kosho (Japan); rangu-rangu, ketumpangan or tumpang angin (Bahasa/Malay); rinrin (Nigeria), "shining bush" (Trinidad and Tobago), and mashithanduമഷിത്തണ്ട്, vellipachila and vella-paccha (Malayalam).