Sunday, 27 November 2016

Panax ginseng dược liệu kháng A549 (tế bào adenocarcinomic nhân phế nang đấy biểu mô), MCF-7 (tế bào gây ung thư vú)

Ginseng

Panax ginseng


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Le ginseng Prononciation du titre dans sa version originale Écouter (Panax ginseng) est une plante vivace qui appartient au genre Panax de la famille des Araliaceae. Environ dix espèces de ginseng sont cultivées à travers le monde1, les espèces les plus connues sont Panax ginseng C.A. Meyer, originaire d'Asie du Nord-Est, et Panax quinquefolium (ginseng américain). La racine du ginseng est réputée pour ses propriétés pharmaceutiques, mais est aussi utilisée comme aliment classique (légume). Le nom générique « Panax » vient des mots grecs Pan, qui signifie « tout », et Akos qui veut dire « remède ». Panax(en français : panacée) désigne donc le remède universel. Le ginseng est une base essentielle de la pharmacopée asiatique et sa renommée est proverbiale en Asie.

Origines et appellations[modifier | modifier le code]

Le ginseng le plus réputé est essentiellement cultivé en Corée.[réf. nécessaire] Les Coréens l'appellent « insam » (인삼ou 人参), la racine en forme d'homme ou « goryo insam » (고려인삼 ou 高麗人参). En effet, une racine âgée peut prendre une allure anthropomorphe (un tronc avec deux bras et deux jambes). Le mot « ginseng » vient du chinoismandarin « rénshēn », « rén » désignant « l'homme », et « shēn » signifiant « racine » (simplifié : ; traditionnel : ). « Rénshēn » est devenu ginseng comme une prononciation anglaise de la manière japonaise de lire ces caractères chinois. Cependant, aujourd'hui, le mot japonais correspondant à ces caractères, « ninjin » (人参?), signifie « carotte », et en japonais le ginseng s'appelle « chosen ninjin » (朝鮮人参?), à partir de Choson (朝鮮?) (Période Joseon), nom de la dernière dynastie régnante de Corée.
Le ginseng doit être cultivé pendant au moins 6 ans2 pour que le rhizome3 arrive à maturité et acquière toutes ses qualités. Selon l'âge de la plante, la racine se vendra à des prix plus ou moins élevés. Il s'agit cependant dans tous les cas d'un produit coûteux, car sa culture nécessite beaucoup de soin. Le commerce du ginseng est fortement encadré par l'État sud-coréen, afin d'assurer la qualité du label Ginseng coréen. Sa qualité est alors reconnue par un sceau d’Etat Coréen :« Korean Office of Monopoly ». Il arrive régulièrement qu'en Corée un promeneur chanceux découvre un ginseng sauvage. Le rhizome sera alors vendu aux enchères, à des prix inimaginables.[réf. nécessaire]

Cultiver du ginseng[modifier | modifier le code]

La culture du ginseng est possible en France métropolitaine et dans les érablières du Québec. Il y est connu depuis 1711, grâce au Père Jartoux, missionnaire jésuite en Chine4. Plante de sous-bois (non d'appartement), le ginseng a besoin d'ombre naturelle (arbre, arbuste, mur…) ou artificielle (filet ombrière). Il aime les sols acides (pH de 6,3 à 6,8), légers (sableux ou humifères) pour y développer plus facilement sa racine. Mais pour le cultiver, il est préférable de le faire en un bac rempli de bon terreau. À l'automne, il perd feuilles et tige et rentre en repos végétatif : à ce stade, il ne craint pas les gelées (jusqu'à -12 voire −15 °C). Il reprendra sa végétation à partir de son bourgeon terminal avec le réchauffement du printemps.
Sa raréfaction à l'état naturel a conduit Coréens et Chinois à mettre au point une technique de culture appropriée aux exigences de la plante. Elle réclame quatre à sept ans d'attention pour atteindre une teneur optimale en composés à usage pharmaceutique.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Le pédoncule du Panax ginseng est plus long que le pétiole ; ce n'est pas le cas chez le ginseng américain (Panax quinquefolius)5.
On y trouve plusieurs composés. Il comporte des ginsénosides, des triterpénoïdes (Terpénoïdes à 6 unités isoprène), dont le protopanaxadiol, sapogénine triterpénique à squelette damarane. Il pourrait augmenter la synthèse de NO par la paroi des vaisseaux, contribuant à un relâchement des fibres musculaires6.
Le ginseng serait avant tout un stimulant du système nerveux, physique et intellectuel et accroît la résistance physique. C'est un stimulant, vasomoteur. Il a une action de fond sur l’organisme. Il est apprécié pour son caractère adaptogène : il permet une meilleure résistance aux divers stress.[réf. nécessaire]
Le ginseng a fait l'objet de très nombreux travaux de recherche.[réf. nécessaire] Ses principaux constituants bioactifs sont les ginsénosides, dont les multiples effets bénéfiques ont été mis en évidence expérimentalement, notamment leurs effets anti-inflammatoires et antioxydants7,8,9.
Le ginseng est utilisé en cas de fatigue générale, physique ou intellectuelle. Il est aussi utilisé dans des boissons énergisantes (Rockstar10, Monster, NOS et AMP) comme stimulant[réf. nécessaire]. Depuis des millénaires, les médecines traditionnelles chinoises, japonaises et coréennes l'utilisent pour ses effets toniques et aphrodisiaques.
Parmi les éléments composant le ginseng, on trouve des molécules de la famille des saponines (= hétérosides de la série des dammaranes = ginsénoside (Chine) = panaxoside (Russie)). C'est, entre autres, cet élément qui procure au ginseng ses propriétés multifonctionnelles. Selon l'origine du ginseng, la quantité de saponine contenue dans la racine diffère.

Effets secondaires et précautions d'emploi[modifier | modifier le code]

Le ginseng peut interférer avec certains médicaments : il diminue ainsi l'efficacité d'un anticoagulant, la warfarine11. Il interfère également avec les examens permettant de doser le taux de digoxine dans le sang ; la digoxine est couramment employée lors des maladies cardiaques12.
À forte dose, il y a un risque d'effets secondaires : hypertension artérielle, troubles du comportement, diarrhée13...
La prudence est de mise chez une femme enceinte, du fait de la similarité des ginsénosides avec certaines hormones sexuelles14.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Stephen Fulder, Le livre du ginseng, La Maisnie-Tredaniel, 1999 (ISBN 2844450563)
  • « Ginseng. Sans intérêt thérapeutique démontré, et sans garantie d'innocuité », in Prescrire : « Bien utiliser les plantes en situations de soins », n° spécial, été 2007, T. 27, n° 28

Saturday, 26 November 2016

Nervilia fordii dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan)

Nervilia fordii dược liệu kháng Hep G2 (tế bào gây ung thư gan)

Nervilia

From Wikipedia, the free encyclopedia
Nervilia
LR055 72dpi Nervilia aragoana.jpg
Nervilia aragoana by Lewis Roberts
Scientific classification
Kingdom:Plantae
(unranked):Angiosperms
(unranked):Monocots
Order:Asparagales
Family:Orchidaceae
Subfamily:Epidendroideae
Tribe:Gastrodieae
Subtribe:Nervilliinae
Genus:Nervilia
Comm. ex Gaudich.
Species
About 65, see text
Synonyms[1]
  • Aplostellis Thouars
  • Bolborchis Zoll. & Moritzi
  • Cordyla Blume (illegitimate homonym)
  • Haplostellis Endl.
  • Rophostemon Endl. (orth. var.)
  • Roptrostemon Blume
  • Stellorchis Thouars (orth. var.)
  • Stellorkis Thouars
Nervilia is a genus of orchid with about 65 species widely distributed across most of sub-Saharan Africa (South Africa, southern Asia (Saudi ArabiaIndiaChinaJapanIndochinaIndonesia, etc.), Australia, and various islands of the Pacific and Indian Oceans.[1] Six species occur in Australia (2 or 3 of these endemic),[2] with 16 in India,[3] 10 in China[4] and 5 in South Africa.[5]
There are flowering and non-flowering varieties - the non-flowering plants have only a single leaf and are either ground-hugging or erect. The flowering varieties have a fleshy flower stem with only one or a few flowers and a leaf which arises later at the base of the dying flower stem. The flowers of the Australian species are rarely seen in the wild because they appear soon after the first heavy rains of the wet season and only live for 1 to 4 days.[2]
Nervilia is the sole member of its subtribe, the Nervilliinae.
Species include:[6]